Aimes tu Candy Crush ?


Oui, j'adore !
472 votes


M'en fou..
284 votes


Non, je supporte pas
254 votes


Mes amis y joue trop !
106 votes



Comments

MickeyMouseLorsque j’ai eu mon iPad, j’ai téléchargé Candy Crush par hasard. N’étant pas fan de jeux, je me disais qu’il était quand même nécessaire d’en avoir quelques-uns pour avoir l’air d’une fille cool et décontract’. Grossière erreur. Depuis ce jour, ma vie n’a plus de sens. (J’ai d’ailleurs eu du mal à écrire cet article d’un seul coup.) Pour ceux qui n’ont pas encore sombré, Candy Crush est un jeu où il faut déplacer et faire disparaître des petits bonbons multicolores pour faire des lignes de 3, 4 ou 5 bonbons de la même couleur. Un peu comme dans Tetris, quand la ligne complète explose quoi. Jusqu’ici, rien de dingue. Ensuite, c’est le piège. Passé un certain nombre de niveaux, ça se corse, et lorsque qu’on n’a plus de vies, il faut attendre pour en avoir de nouvelles, ou aller en quémander à ses amis Facebook. Oui, parce qu’en plus de jouer avec nos nerfs, le jeu peut être "connecté", ce qui fait un peu de Candy Crush le Farmville des gens bien. Le pire moment de ma journée Bon, au départ on se dit, "Allez, 24 minutes, c’est rien. Le temps de faire la vaisselle, de ranger un peu, et c’est terminé." La spirale infernale a commencé. Avant, Candy Crush était là pour passer le temps, maintenant, c’est le reste de la vie qui est là pour nous occuper entre deux parties de Candy Crush. Terrible constat. Des témoignages anonymes effrayants (Les prénoms ont été changés pour préserver l’anonymat des victimes. ATTENTION, certains témoignages peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes. Cachez vos yeux et scrollez vite si vous n’êtes pas majeur.) Michel, alias Guillaume, joueur de mandoline domicilié à Issy-les-Moulineaux confie : "Candy Crush a changé mon rythme de vie, je me lavais et mangeais au moins une fois par jour, depuis je me suis créé 5 comptes Facebook qui me permettent de constamment offrir des vies et pouvoir aller le plus loin possible dans le jeu." Gildas, 36 ans, originaire de Limoges, confesse : "Au début j’ai commencé pour passer le temps suite à la recommandation d’une amie. Mais sans m’en rendre vraiment compte je ne pouvais plus m’arrêter. J’allais jusqu’à téléphoner à mes amis (qui ne le sont plus depuis) pour qu’ils m’envoient des vies. Ma facture téléphonique a été multipliée par 74, autant dire que mon passage chez Free qui devait être une bonne affaire, freeze le ridicule. De fil en aiguille j’ai délaissé ma famille, et ma femme m’a quitté pour Alfred, mon meilleur ami de CE2. Mes enfants, que j’avais initié, ont du suivre une thérapie en cure de désintoxication qui leur a permis de s’en sortir. Maintenant, ils me rendent parfois visite au CHU de Toulouse ou au cybercafé de la rue Saint-Antoine où je vais jouer quand je parviens à m’échapper. Il faut dire que les surveillants ne semblent pas très concentrés, c’est à se demander ce qu’ils font derrière leurs écrans. J’ai tout perdu. Et depuis peu, comme mes amis ne veulent plus m’envoyer de vies, je suis obligé d’attendre 25 minutes pour jouer une partie qui ne durera que quelques secondes… Alors pour rendre le temps moins long, je bois. Ca me fait mal d’en parler mais si mon témoignage peut servir aux débutants de Candy Crush pour qu’ils s’en détournent, alors je n’aurais pas complètement gâché ma vie…" Claudia, esthéticienne à Maubeuge, avoue : "J’ai divorcé de Thierry parce qu’il était plus loin que moi dans le jeu, alors que c’est moi qui lui ai fait découvrir. Aujourd’hui, je suis une femme brisée et je suis bloquée au niveau 32." Candy Crush, pire que la drogue ? Comme vous pouvez le constater avec ces témoignages affligeants, même chez un sujet a priori sain, le jeu peut rapidement virer à l’obsession. Certaines personnes y jouent la nuit, ou encore lorsqu’ils sont avec leurs amis, en cachette, et font semblant de checker leur compte Twitter alors qu’ils déplacent des friandises discrètement. L’augmentation du chômage ? À votre avis ? Rien d’étonnant depuis le lancement de Candy Crush. Un soir, coincé dans le lac Limonade, j’ai moi-même envisagé de tout plaquer pour jouer en continu, vivre en pyjama, et claquer toutes mes économies dans le Charme de Rayures de la boutique Yeti. Un peu plus tôt, j’avais essayé de déplacer le nez d’une de mes amies au niveau des yeux pour faire exploser la ligne. Dès que je vois 3 objets semblables, c’est la rechute. J’ai besoin d’aide. Aidez-moi. S’il-vous-plaît. Envoyez-moi vos dons vies afin que je puisse sortir du niveau 34 rapidement. B

MickeyMousequi est là pour nous occuper entre deux parties de Candy Crush. Terrible constat. Des témoignages anonymes effrayants (Les prénoms ont été changés pour préserver l’anonymat des victimes. ATTENTION, certains témoignages peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes. Cachez vos yeux et scrollez vite si vous n’êtes pas majeur.) Michel, alias Guillaume, joueur de mandoline domicilié à Issy-les-Moulineaux confie : "Candy Crush a changé mon rythme de vie, je me lavais et mangeais au moins une fois par jour, depuis je me suis créé 5 comptes Facebook qui me permettent de constamment offrir des vies et pouvoir aller le plus loin possible dans le jeu." Gildas, 36 ans, originaire de Limoges, confesse : "Au début j’ai commencé pour passer le temps suite à la recommandation d’une amie. Mais sans m’en rendre vraiment compte je ne pouvais plus m’arrêter. J’allais jusqu’à téléphoner à mes amis (qui ne le sont plus depuis) pour qu’ils m’envoient des vies. Ma facture téléphonique a été multipliée par 74, autant dire que mon passage chez Free qui devait être une bonne affaire, freeze le ridicule. De fil en aiguille j’ai délaissé ma famille, et ma femme m’a quitté pour Alfred, mon meilleur ami de CE2. Mes enfants, que j’avais initié, ont du suivre une thérapie en cure de désintoxication qui leur a permis de s’en sortir. Maintenant, ils me rendent parfois visite au CHU de Toulouse ou au cybercafé de la rue Saint-Antoine où je vais jouer quand je parviens à m’échapper. Il faut dire que les surveillants ne semblent pas très concentrés, c’est à se demander ce qu’ils font derrière leurs écrans. J’ai tout perdu. Et depuis peu, comme mes amis ne veulent plus m’envoyer de vies, je suis obligé d’attendre 25 minutes pour jouer une partie qui ne durera que quelques secondes… Alors pour rendre le temps moins long, je bois. Ca me fait mal d’en parler mais si mon témoignage peut servir aux débutants de Candy Crush pour qu’ils s’en détournent, alors je n’aurais pas complètement gâché ma vie…" Claudia, esthéticienne à Maubeuge, avoue : "J’ai divorcé de Thierry parce qu’il était plus loin que moi dans le jeu, alors que c’est moi qui lui ai fait découvrir. Aujourd’hui, je suis une femme brisée et je suis bloquée au niveau 32." Candy Crush, pire que la drogue ? Comme vous pouvez le constater avec ces témoignages affligeants, même chez un sujet a priori sain, le jeu peut rapidement virer à l’obsession. Certaines personnes y jouent la nuit, ou encore lorsqu’ils sont avec leurs amis, en cachette, et font semblant de checker leur compte Twitter alors qu’ils déplacent des friandises discrètement. L’augmentation du chômage ? À votre avis ? Rien d’étonnant depuis le lancement de Candy Crush. Un soir, coincé dans le lac Limonade, j’ai moi-même envisagé de tout plaquer pour jouer en continu, vivre en pyjama, et claquer toutes mes économies dans le Charme de Rayures de la boutique Yeti. Un peu plus tôt, j’avais essayé de déplacer le nez d’une de mes amies au niveau des yeux pour faire exploser la ligne. Dès que je vois 3 objets semblables, c’est la rechute. J’ai besoin d’aide. Aidez-moi. S’il-vous-plaît. Envoyez-moi vos dons vies afin que je puisse sortir du niveau 34

MickeyMouse De fil en aiguille j’ai délaissé ma famille, et ma femme m’a quitté pour Alfred, mon meilleur ami de CE2. Mes enfants, que j’avais initié, ont du suivre une thérapie en cure de désintoxication qui leur a permis de s’en sortir. Maintenant, ils me rendent parfois visite au CHU de Toulouse ou au cybercafé de la rue Saint-Antoine où je vais jouer quand je parviens à m’échapper. Il faut dire que les surveillants ne semblent pas très concentrés, c’est à se demander ce qu’ils font derrière leurs écrans. J’ai tout perdu. Et depuis peu, comme mes amis ne veulent plus m’envoyer de vies, je suis obligé d’attendre 25 minutes pour jouer une partie qui ne durera que quelques secondes… Alors pour rendre le temps moins long, je bois. Ca me fait mal d’en parler mais si mon témoignage peut servir aux débutants de Candy Crush pour qu’ils s’en détournent, alors je n’aurais pas complètement gâché ma vie…" Claudia, esthéticienne à Maubeuge, avoue : "J’ai divorcé de Thierry parce qu’il était plus loin que moi dans le jeu, alors que c’est moi qui lui ai fait découvrir. Aujourd’hui, je suis une femme brisée et je suis bloquée au niveau 32." Candy Crush, pire que la drogue ? Comme vous pouvez le constater avec ces témoignages affligeants, même chez un sujet a priori sain, le jeu peut rapidement virer à l’obsession. Certaines personnes y jouent la nuit, ou encore lorsqu’ils sont avec leurs amis, en cachette, et font semblant de checker leur compte Twitter alors qu’ils déplacent des friandises discrètement. L’augmentation du chômage ? À votre avis ? Rien d’étonnant depuis le lancement de Candy Crush. Un soir, coincé dans le lac Limonade, j’ai moi-même envisagé de tout plaquer pour jouer en continu, vivre en pyjama, et claquer toutes mes économies dans le Charme de Rayures de la boutique Yeti. Un peu plus tôt, j’avais essayé de déplacer le nez d’une de mes amies au niveau des yeux pour faire exploser la ligne. Dès que je vois 3 objets semblables, c’est la rechute. J’ai besoin d’aide. Aidez-moi. S’il-vous-plaît. Envoyez-moi vos dons vies afin que je puisse sortir du niveau 34 rapidement.

MickeyMouseCertaines personnes y jouent la nuit, ou encore lorsqu’ils sont avec leurs amis, en cachette, et font semblant de checker leur compte Twitter alors qu’ils déplacent des friandises discrètement. L’augmentation du chômage ? À votre avis ? Rien d’étonnant depuis le lancement de Candy Crush. Un soir, coincé dans le lac Limonade, j’ai moi-même envisagé de tout plaquer pour jouer en continu, vivre en pyjama, et claquer toutes mes économies dans le Charme de Rayures de la boutique Yeti. Un peu plus tôt, j’avais essayé de déplacer le nez d’une de mes amies au niveau des yeux pour faire exploser la ligne. Dès que je vois 3 objets semblables, c’est la rechute. J’ai besoin d’aide. Aidez-moi. S’il-vous-plaît. Envoyez-moi vos dons vies afin que je puisse sortir du niveau 34 rapidement.

loulouteDsl j ai pas tout lu mais je croix que tu exagère

Iradna Elangoje suis au niveau 300

⠨⠋⠗⠑⠑⠵⠑⠗@Iradna Elango 😱😱😱😱😱😱 Moi je l'ai supprimé à jamais car ça me saoulait