Seriez vous prêts à vous restreindre (eau/éléctricité/viande/autres consommations polluante) pour sauver la planète?

Dans ma modeste quotidienneté il y a belle lurette que je me restreint quelque peu, sans brusquerie ni excès en divers domaines et diverses directions, bien que cela ne soit pas toujours évident, et très certainement n’en fais-je pas suffisamment. Mais je ne me fais aucun film ni ne nourris aucune illusion, j’ai un peu le sentiment de pisser en l’air. Face à ce qui nous arrive dessus, la réponse NE PEUT ÊTRE QUE COLLECTIVE, GLOBALE, GÉOCITOYENNE, sinon il n’y aura pas d’issue... (...)

(...) Mais il y a aussi un autre regard à porter sur la question, un regard terrible... En considérant ce qui s’en vient et le déferlement sans pareil avec ‘‘ l’effet dominos’’ des conséquences qui iront n’en doutons pas de paire, on est glacé par le constat de l’immobilisme, de l’indécision, l’absence de prise de position formelle, l’incapacité totale de penser-même la méga-crise à venir de TOUS les décideurs premiers de nôtre monde contemporain... Ce qui implique quoi ? Tout simplement qu’âpres l’imminence du chaos global, lorsque le ‘’point de NON-RETOUR ‘’sera quasiment atteint, entre catastrophes répétées et convulsions de la planète, les décisions cruciales DEVRONT ÊTRE PRISES, qu’elles SERONT DE GRÉ OU DE FORCE PRISES (...)

(...) qu’elles seront prises sous la démente pressions des évènements. Foin alors des idéaux et principes ‘’démocratiques’’ dans les feux crépusculaires de nos sociétés ‘’civilisées’’ impactées frontalement et de plein fouet... L’homme redeviendrait alors ce qu’il a toujours été sous son mince vernis de ‘’civilisation’’ : un fauve. Qu’est-ce à dire ? Simplement que le temps nous est terriblement mesuré pour réagir, en tant qu’ÊTRE CIVILISÉ ET CITOYEN DU MONDE, en exerçant une immédiate pression là où on est sur TOUS nos dirigeants, nos élus, celles et ceux chargés de la chose publique, (...)

(...) ET... PENDANT QU’IL EN EST ENCORE TEMPS... Je ne me désespère pas, bien soit déjà bien tard. Reprenant humblement le mot du philosophe Bertrand MÉHEUST, je me définirais quelque peu comme un ‘’pessimiste pragmatique’’.

Au Viet Nam, on crame les déchets en plein milieu de la route, donc c'est foutu

J’utilise que des led, je prend des douche tout les deux jours par contre la viande c’zut pas encore gagner

Pour l’eau, je prends déjà jamais de bain. L’électricité, je fais gaffe. La viande, je diminue petit à petit. Les transports en commun, très souvent. Le tri des déchets (oui les Français, ça existe ça) toujours.

(...) qu’à* l’imminence (...)

(...) bien qu’il* soit déjà bien tard (...)